Perché à 150 mètres d’altitude, sur un piton volcanique, offrant une vue imprenable sur la vallée du Lez, le vieux village de Montferrier-sur-Lez s’érige fièrement, comme pour attirer l’œil sur son riche patrimoine historique, architectural et culturel.
Cette commune qui s’étend sur 7,7km2 accueille aujourd’hui près de 4 000 habitants, ayant succombé au charme pittoresque de son centre historique, comme du calme qu’offre ce secteur résidentiel privilégié, mais aussi par la modernité de son Parc Scientifique sur le bassin d’emploi d’Agropolis.
Montferrier-sur-Lez, aux portes de Montpellier comme de celles du Pic Saint-Loup offre une situation géographique idéale et un environnement naturel exceptionnel.
Le Château
Montferrier-sur-Lez se distingue par son village installé sur une colline volcanique à pic de 150 mètres. Haut lieu de bataille au moment de la libération de Montpellier en 1944, la ville regorge de vestiges. Les monuments à découvrir ne manquent pas dans cette cité qui a su conserver un charme authentique. L’intérêt touristique est valorisé par la municipalité qui a mis en place un parcours découverte inauguré depuis peu.
Montferrier figurait déjà comme lieu fortifié à une époque où le nom de Montpellier n’existait pas. En effet, le site du village fut choisi dès l’époque gauloise comme lieu de défense puis comme oppidum, pendant l’occupation romaine. Plus tard, Montferrier fut un petit bourg médiéval dont il subsiste encore
quelques vestiges de l’enceinte ainsi que du château fort. Après la destruction des remparts, ordonnée par Richelieu (1627), la reconstruction du château fut entreprise au 17ème siècle, à la fin du règne de Louis XIII.
Plus tard, Antoine du Vidal (1701-1786) marquis de Montferrier par lettres patentes royales, embellit le château, résidence d’été de la famille, notamment avec ses terrasses étagées qui descendaient jusqu’au Lez. Le château fut pillé à la révolution et en partie détruit. En 1850, ce qu’il en restait a été vendu à la commune et depuis un siècle une partie du bâtiment est reconstituée pierre après pierre. Il présente encore des substructures apparentes, avec notamment les voûtes de la cave. Le château fut pillé pendant la Révolution. La Mairie occupe ce qui était autrefois une aile du château.
Les façades et les toitures sur les jardins et sur la rue y compris sur la courette intérieure, et celles de l’orangerie ; les terrasses subsistantes avec leur décor, notamment l’escalier à balustres et les fontaines ; la salle aux gypseries ont été inscrites par arrêté du 16 octobre 1990 aux Monuments Historiques.
L’Eglise Saint-Etienne
D’origine romane, l’église Saint-Etienne prend place sur le plus haut piton rocheux de la ville. Construite au XIe siècle, elle a souvent été l’objet de modifications et d’ajouts, comme la plupart des édifices religieux dans notre région. Elle présente encore un clocher et une abside polygonale originale.
Saint-Roch, natif de Montpellier en 1350, y trouve naturellement sa place dans sa tenue de pèlerin et accompagné de son fidèle chien, à la fois pourvoyeur de nourriture (pain) et guérisseur de ce terrible mal qu’est la peste, attrapé par son maître. Saint Roch est considéré comme un Saint guérisseur de toutes les pandémies humaines, également un protecteur des espèces animales.
Sa légende est restée vivace dans la mémoire des hommes jusqu’à nos jours, tant et si bien qu’il est devenu le Saint protecteur des vignerons lors de l’épidémie de phylloxera, ainsi que le patron de multiples confréries tels que les chirurgiens, les médecins, les dermatologues ou encore les fripiers, et dont le renom s’est étendu au monde entier.
La France et l’Italie lui vouent une admiration sans borne pour son engagement auprès des pauvres, des malades et des laissés pour compte. Invoquer Saint Roch est devenu un gage de guérison pour toutes celles et ceux que se réfère à cet humble pèlerin.
L’église est posée sur la cheminée d’un volcan ; on peut voir notamment que le chevet de celle-ci repose pour une petite partie visible sur un socle de prismes de basalte ; prismes de basalte que nous retrouvons à plusieurs endroits dans la partie circulaire du village.
En effet, le village de Montferrier a été construit sur les vestiges d’un ancien volcan vieux de 24 millions d’années. Le passé éruptif du village est reconnu dès le XVIIIe siècle.
A proximité de l’église, en rejoignant la place de la Canourgue juste avant la Mairie , on peut noter la présence d’œuvres de l’artiste Albert Masri.
Venu du Caire où il est né, Albert MASRI (1927-2020) a choisi de s’installer à Montferrier. Il a suivi des études de médecine pour
finalement s’adonner à sa passion, le Pastel, et la technique apprise alors qu’il était chez les jésuites en Égypte. Avant tout pastelliste, mais également peintre, sculpteur, céramiste, graveur, dessinateur ; un artiste aux multiples facettes.
Découvrir un riche patrimoine
A l’occasion des Journées du Patrimoine du mois de septembre dernier, la Municipalité a dévoilé un circuit préparé spécifiquement pour l’évènement, mais aussi pour enrichir l’attrait touristique de la commune durant toute l’année.
Ce parcours nommé « Nos Sites Secrets » nous mène au cœur du village, au travers des ruelles et autour du château pour découvrir les riches témoignages du passé. Vous trouverez des bornes de présentation sur chacun des sites pour une balade culturelle qui vous conduira aussi en dehors du centre historique jusqu’à l’Aqueduc, l’église de la Gleizasse et le hameau de Baillarguet.
Ne manquez pas de découvrir le film de présentation de cette belle initiative sur le site de la Mairie de Montferrier sur Lez.
L’Aqueduc
Si l’aqueduc reliant la source du Lez à la place du Peyrou à Montpellier mesure 17 kilomètres aujourd’hui, les trois quarts ont été construits au XVIIIème siècle.
Durant 4 siècles, de Philippe V le Long à Louis XIV, l’aqueduc est resté à l’état de projet. Un arrêt du Conseil d’État du Roy du 11 avril 1752 précisa l’accord de Louis XIV ainsi que les modalités de financement.
Ce n’est qu’en 1754 que l’ingénieur Henri Pitot a enfin pu démarrer la construction de l’édifice qui allait alimenter la ville de Montpellier en eau. L’aqueduc a été fortement inspiré du pont du Gard, pourtant réalisé 17 siècles auparavant par les Romains.
Il fallut 12 ans de travaux pour réaliser les 7134 toises (13 904 m) de l’aqueduc avec un dénivelé de 9m et un débit de 25 l/s pour une population de 30 000 habitants. (L’aqueduc traverse la commune de Montferrier en aérien et en souterrain)
Lors de la mise en service officielle de l’aqueduc le 7 décembre 1765, la population montpelliéraine se masse sur la place royale pour entendre le bruissement de l’eau pure et douce de Saint-Clément.
L’édifice a volontairement été surdimensionné afin d’amortir un afflux massif d’eau, notamment causé par les crues à répétition. Plusieurs ouvrages ont été conçus à cet effet, réservoirs, déversoirs et au XIXème siècle, les cheminées d’équilibre.
Baillarguet : Le Château et la Chapelle
Rattachée à Montferrier-sur-Lez en 1813, la commune de Baillarguet a été créée à la fin du XVIIIe siècle. On peut y admirer les ruines de l’église Saint-Barthélémy-de-Baillarguet, construite au XIe siècle, ou encore une chapelle du XVIIIe siècle.
La chapelle subsiste sur le belvédère du hameau de Baillarguet, mais le château est presque inexistant. Seule une bâtisse qui a servi quelques années de lieu de villégiature pour des prêtres retraités du diocèse, résiste encore aux assauts du temps.
Pourtant ce château, dessiné par le peintre Jean-Marie AMELIN, fut une place forte à l’époque médiévale au même titre que l’enceinte fortifiée du château de Montferrier. Il resta sous la protection du marquisat de Montferrier jusqu’à la révolution de 1789. Il est attesté que les 2 châteaux étaient reliés par un souterrain qui fut probablement utilisé lors des guerres de religions. Le Cardinal Richelieu n’hésitera pas pour enlever tout caractère militaire à ces places fortes du Languedoc et fit détruire toutes les défenses existantes.
La chapelle de Baillarguet, aujourd’hui entretenue grâce à une association très active (Les Amis de la chapelle de Baillarguet), mérite votre visite, ainsi que le cimetière attenant qui recèle un étonnant calvaire (copie d’un calvaire breton), jadis situé place de la Canourgue à Montferrier.
Le charme de cet édifice rebâti au 18ème sur une base romane du 11ème siècle, offre une vue imprenable sur le village de Montferrier-sur-Lez.
L’Eglise de la Gleizasse
Si près du hameau de Baillarguet, et pour cause, ce qu’il reste de l’église romane de la Gleizasse se dénomme aussi Saint Barthélémy de Baillarguet ! Ou encore Saint Barthélémy de Albananicis selon la vieille chronique de Maguelone.
Ce prieuré semble remonter au XIème siècle puisque sa construction est déjà évoquée autour de l’année 1080, sur un domaine gallo-romain, propriété d’un certain Albanus.
Rattachée au chapitre de Maguelone dès 1144, cette église initialement imposante par ses dimensions, fut saccagée et détruite lors des affrontements qui opposèrent catholiques et protestants, pour quasi disparaître à la fin du XVIIème siècle. Les pierres de la Gleizasse, qui vient de l’occitan « gleize » qui signifie église, ont servi en grande quantité afin d’agrandir l’église de Montferrier, ainsi que pour bâtir la
chapelle de Baillarguet.
La bataille de Montferrier
Le 24 août 1944, la veille de la bataille de Montferrier, un long convoi de véhicules blindés légers traverse le village. Descendu du Limousin, passé par l’Aveyron, il emprunte les routes secondaires, sous couvert des platanes, pour se protéger des attaques incessantes de la chasse alliée. Cette colonne allemande appartenait à la XIème division de panzers faisant partie de la 19ème armée sous les ordres du général Friedrich Wiese.
En chemin vers 18h à Montferrier-sur-Lez, un barrage allemands oblige les résistants (FTPF) André Thibal (38 ans) et Pierre Sutra (39 ans) à l’abandon de leur camion chargé d’armes dissimulées. Les deux hommes seront interceptés et les armes découvertes. En même temps les Allemands avaient interpellé d’autres ouvriers qui revenaient à bicyclette de leur travail. Quatre d’entre eux : Jean Coste, 44 ans ; René Guérin, 36 ans ; Louis Long, 33 ans et Charbonnel, 37 ans furent retenus car, possesseurs d’un permis de conduire, ils pouvaient être les chauffeurs du camion.
Comme beaucoup d’autres, ces hommes vont devenir des victimes innocentes de la folie guerrière. Alors qu’ils ne demandaient qu’à rentrer chez eux, tout près de là.
Ils n’ont évidemment rien à se reprocher, si ce n’est d’être là où il ne faut pas, au mauvais moment. Durant deux heures, ces patriotes sont humiliés, demeurent aux mains des Allemands mais espèrent qu’ils auront la vie sauve. Hélas, à l’heure où les villes du Sud sont libérées les unes après les autres, les Allemands en fuite continuent de faire des exemples çà et là. Sans raison. Molestés, les six hommes,
furent froidement fusillés vers 20h contre un mur, à hauteur du carrefour de Fescau contre le mur du bâtiment situé en face de la boulangerie « Claudette ». Puis ils furent jetés dans un fossé et recouverts de fumier.
L’anniversaire de ces assassinats est commémoré depuis chaque année par la commune. Une plaque rappelle, sur les lieux du drame, ce crime de guerre de la Wehrmacht.
Le lendemain, le 25 août 1944, a lieu la bataille de Montferrier, en préambule à la libération de Montpellier : le commandant François Rouan (dit « Montaigne ») qui dirige alors le maquis Bir-Hakeim, et dispose de 900 hommes, décide d’attaquer l’arrière-garde de cette colonne allemande composée de 120 soldats. Les combats dureront sept heures, une vingtaine d’Allemands seront tués et une cinquantaine
blessés. La 11ème Panzerdivision sera, quelques jours plus tard, durement étrillée et décimée lors de la bataille de Montélimar par la task-force du général Butler.
Source Wikipedia, « La libération de Montpellier » Edition Aristide Guillet
Un patrimoine naturel
La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 « le Lez » et une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique. d’une superficie de 239 hectares, l’unique site de présence du Chabot endémique.
Montferrier-sur-Lez est drainée par le Lez qui la traverse, la Lironde qui la délimite à l’Ouest et par deux autres cours d’eau, affluents du Lez : la Pesseyrasse, du Sud vers le nord et le ruisseau de la Font de Salomé, du nord vers l’est.
La nature généreuse et les balades qu’elle offre est accessible du village comme de l’ensemble de la commune, même à partir du bassin d’emploi d’Agropolis.
Montferrier-sur-Lez jouit d’une situation géographique exceptionnelle, aux portes de Montpellier, non loin du zoo de Lunaret. Son environnement de garrigue et de bois contribue au calme de ce secteur résidentiel très prisé.
Un village vivant
La place des Grèses est lieu convivial et de rencontre pour les habitants, elle a été réalisée au début des années 1990, afin de répondre au besoin de logements et à celui d’établir une structure commerciale en dehors du vieux village.
On y trouve donc la Poste, le bureau de police municipale, la crèche parentale et tous les mardis et samedis matin, le marché de producteurs s’installe. Les commerces alentours, la fontaine, l’ombrage et la terrasse du café-restaurant apportent la touche de fraîcheur durant l’été et contribue à la convivialité de ce village résolument méditerranéen en toutes saisons !
La Place des Grèses est aussi le théâtre de nombreux événements, comme le repas républicain le 13 juillet et elle reçoit aussi des manifestations associatives. Ainsi, elle sert par exemple de lieu de départ aux « Pinèdes du Lez », journée du VTT organisée par l’association « Aqueduc » depuis une quinzaine d’années, une manifestation accueillant plus de 700 vététistes pour un parcours dans les pinèdes du Lez.
La foire aux associations s’y tient également chaque année. Montferrier-sur-Lez compte à elle seule plus de 60 associations actives pour répondre aux aspirations culturelles, sportives ou de loisirs de ses habitants et voisins.
Le Devézou, centre culturel créé en 2003 pour pallier un besoin de place couverte et donc remplacer le trop petit foyer municipal d’alors, sert maintenant de lieu d’accueil pour des manifestations culturelles comme des expositions, mais aussi pour des mariages ou des événements sportifs. Il accueille également le City Park.
L’esplanade des Aigueillères, construite en même temps que la maison de retraite attenante au début des années 2000 sert d’espace de loisirs. Le club de pétanque y a installé son local où se tiennent des réunions quotidiennes. Elle sert aussi de lieu convivial pour les familles et on y trouve une aire de jeux et une fontaine.
Deux autres zones commerciales proposent des commerces et des services aux
habitants :
- La zone du Fescau à l’entrée du village est dédiée aux activités médicales mais propose aussi des enseignes de services et des commerces de proximité.
- La ZAC de Sainte-Julie au rond point de Baillarguet accueille aussi des enseignes commerciales, des commerces de proximité et une brasserie.
Agropolis
La commune de Montferrier abrite de nombreuses entités scientifiques et technologiques qui constituent un bassin d’emploi au rayonnement international.
On y trouve le siège du réseau international pour l’amélioration de la production de la banane et de la banane plantain, ainsi qu’une grande partie des installations du CIRAD (Campus de Baillarguet) ainsi que le CNRS.
Le CIRAD s’est installé d’abord sous le nom de Gerdat en 1974 sur la commune de Montferrier-sur-Lez à la Valette, avec une concentration d’autres instituts de recherche en agronomie. Le site connait une légère évolution avec cette nouvelle étape en 1985 : Gerdat devient CIRAD, et devient un institut de recherche pour le développement sous un centre unique.
En 1991, il y a une absorption complète des divers instituts encore présents sur le site qui deviennent des départements du CIRAD. Enfin en 2007, le CIRAD opère une refondation des départements, avec trois pôles : mécanismes biologiques, systèmes de culture, territoires, politiques publiques et acteurs. Le siège social reste lui à Paris.
Le parc scientifique des « cubes » a été réalisé à la suite de la croissance du site de la Valette. Une pépinière d’entreprises spécialisées dans l’agronomie, et un département du CIRAD spécialisé dans les fruits ainsi que la direction du département s’y sont installés.
Au sud de la commune, d’autres sociétés de renom ont établi leur siège parmi lesquelles la société Racines (épicerie ethnique et bio), IRD (centre de biologie), ou encore Objectif 3D (Ecole de cinéma et jeux vidéos) Oenobrands, Palmelit et bien d’autres enseignes qui participent au renom de Montferrier-sur-Lez.
Le Pôle de Baillarguet
Ce nouveau site ouvert en 2000 est spécialisé sur les questions de forêt, d’élevage et de santé animale, et on y trouve maintenant le siège du département Environnement et sociétés. On trouve autour du bâtiment du CIRAD, le centre australien de recherche en agronomie et le centre américain de la même spécialité.
De grosses unités mixtes de recherche se sont ensuite greffées au complexe, comme une unité de recherche en pathologie.
Le site accueille aussi le Campus Saint-Joseph Pierre Rouge, collège et lycée privé. contribuant à renforcer la fonction d’enseignement des lieux.
Le Mot de Madame Le Maire, Brigitte Devoiselle
Notre village, Montferrier-sur-Lez, se trouve être en limite de deux territoires, la Métropole de Montpellier et la Communauté de Communes du Grand Pic Saint-Loup. Cette proximité nous permet d’avoir deux facettes bien distinctes : un côté proche de la ville avec ses hôpitaux et ses universités et un côté proche de la garrigue avec l’accès aux paysages du Pic Saint Loup, si représentatif de notre région.
Montferrier est un village préservé où l’urbanisation est restée maitrisée depuis de longues années et la nouvelle équipe municipale poursuivra cet engagement pour
lui conserver ce caractère de village, son authenticité, son environnement et mettre en valeur ses valeurs architecturales et historiques au travers du tout nouveau
circuit du patrimoine.Village niché sur son piton volcanique, vous déambulerez dans ses ruelles et découvrirez de véritables pépites : une maison d’artiste, des vues imprenables sur la mer comme sur le Pic, un château avec ses terrasses et son jardin, des placettes, une église du Xième remaniée, une chapelle romane et un aqueduc… tant de choses qui font la richesse de notre commune.
Mais Montferrier-sur-Lez, c’est aussi un véritable lieu de vie avec ses écoles, ses associations sportives dont le club de football très réputé, ses tennis, son padel, son club de pétanque, ses associations culturelles très riches et très diverses, ses pistes cyclables dont le maillage va s’accélérer et permettre ainsi des mobilités plus douces, le tout dans un cadre environnemental exceptionnel !
Pour et avec les Montferrieraines et les Montferrierains, l’équipe municipale préservera ce lieu privilégié où il fait bon vivre !